(ce post rentre dans le contexte du lancement de nos pitch parties en meetups tous les lundis soir)

Hé, honnêtement, c’est quand la dernière fois que vous avez réussi le pitch parfait ?

Vous savez, quand vous ressentez un moment d’osmose idéale en rendez-vous investisseur, client, recruteur… Avec la sensation de dominer le sujet, de n’être déstabilisé ni dérangé par aucune des questions de l’auditoire et de sentir le « closing » arriver en toute fluidité…

Les plus grands experts du pitch l’avouent eux-mêmes : le talent ne suffit pas, et la technique est essentielle pour garder éveillée l’attention de son auditoire et engager ses interlocuteurs.

Mais cette technique consiste à magnifier l’âme du projet, à partager un élan, une vision, pas à les réduire dans une éristique.

Mes convictions :

• Le pitch parfait n’existe pas en soi : il est le fruit d’un alignement intrinsèque entre notre conscience, nos aspirations, nos valeurs et le projet que nous défendons, il coule de source quand tous les ingrédients de la confiance et de la conviction sont réunis ;

• Il faut dédramatiser l’exercice collectivement, y trouver du plaisir, s’entraîner dans un bon esprit de solidarité et de reconnaissance entrepreneuriales, cela permet d’explorer des leviers narratifs et de découvrir une dimension émotionnelle que la pression du quotidien oblitère,

• En testant l’impact de son pitch dans l’esprit club que je propose, on apprend certes à le rôder, mais on développe par la même occasion d’authentiques camaraderies professionnelles stimulées par l’écoute mutuelle (tout le monde doit s’exprimer en pitch parties !) : si tout le monde s’expose, il émerge un climat propice à la coopération.

Le pitch parfait pour vous ne sera pas le fruit d’une technique manipulatoire ni d’un cynisme lexical : il sera l’essence même de votre intime conviction s’épanouissant avec fluidité.

Voilà pourquoi nous proposons des pitch parties : une expérience de camaraderie forte dont émerge une communauté reliée par un moment d’humanité authentique.

Et non je ne suis pas un bisounours : venez tester par vous-mêmes, je vous mets au défi de ne pas ressortir sous le charme d’un « feel good moment ».

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