C’est le mariage entre le social selling et le marketing émotionnel. Bon OK, c’est bien plus que cela, comme je sais votre temps limité je vais à l’essentiel.

Temps de lecture 5 minutes mais la récompense est honnête à l’arrivée 😉

Ce qui est drôle, c’est qu’à titre un tout à fait didactique, dans « social selling » le « social » s’est associé au « selling » pour signifier au travers de ce vocable aux décideurs qu’il y a bien – ouf, on l’a échappé belle – de la vente et une obsession « R.O.I.ste » dans ce que l’entreprise peut faire d’intelligent avec les réseaux sociaux. Histoire de l’y engager pleinement et lever les dernières résistances.

Et le marketing, principalement à grâce à Patrice Laubignat en France, s’affuble de l’épithète « émotionnel » à titre non moins pédagogique puisqu’il faut bien rappeler que c’est ça, le marketing qui marche. L’émotion n’est pas un prédicat opportuniste : c’est le cœur du marketing si l’on veut qu’il ait une chance de nous atteindre.

Étrangement, le progrès de ces notions s’accompagne à mon sens (je l’affirme intuitivement à l’aune de mon vécu) d’une vaste régression dans le réseautage.

La part d’automatisation commence à prendre le pas de façon plutôt dévastatrice. J’insiste : c’est mon ressenti. Mais j’ai pris un soin particulier à éviter d’abuser des robots et autres messages programmés. Je ne les supporte plus.

Alors je voudrais remettre un peu d’amour dans tout ça.

Enfin, il n’y a pas d’amour mais que des preuves d’amour dit fort justement le proverbe.

Lire l’intégralité de l’article initialement publié sur Linkedin